Le 18 janvier 2024, Ouest France a publié un reportage dédié à SAPRENA en dernière page de toutes les éditions du journal. Quel bonheur de voir la fierté dans les yeux de nos collaborateurs lorsqu’ils ont découvert la parution !
Entreprise prospère dixit Ouest France
“L’entreprise prospère en rendant ses salariés heureux”, quel beau titre pour décrire SAPRENA ! A travers l’article, on apprend que l’histoire de SAPRENA s’est construite autour d’une raison d’être forte, la solidarité. En 1992, elle devient une “entreprise adaptée“, puis elle passe au statut de SCIC (Société Coopérative d’Intérêt Collectif) en 2018.
Engagée et toute aussi performante, SAPRENA a pour objectif de réaliser un chiffre d’affaires de 20 millions d’euros en 2024, et de poursuivre sa croissance. Faire une croissance à deux chiffres avec 490 salariés dont 67 % de handicap, c’est possible ! Notre secret ? L’engagement collectif qui naît de la bienveillance, de la solidarité et du respect des différences.
Diversifier pour mieux se développer
L’entreprise a surmonté l’épreuve du feu il y a 4 ans, pendant la période de confinement. Malgré le chômage partiel, les salaires ont été maintenus à 100 %. Aujourd’hui, la société apprend de son passé et se tourne vers la diversification de ses activités. En 2022, la marque Simplessens est née, une gamme de produits cosmétiques pour le corps. Distribuée dans les hôtels, cette jeune marque reflète la volonté pour SAPRENA de se développer et de conquérir de nouveaux marchés !
Mais SAPRENA, ce sont nos salariés qui en parlent le mieux ! Les collaborateurs ont été nombreux à contribuer au reportage par leur témoignage.
« Je resterai à Saprena jusqu’à ma retraite. »
Témoignage de Driss, salarié à SAPRENA
Nous remercions Françoise, Snezana, Philippe, Driss, Estelle, Abdou, Betty, Mohand et Michel d’avoir partagé leur parcours de vie et leur expérience chez SAPRENA… Leurs témoignages sont la plus belle preuve de l’engagement et de la confiance de toutes nos richesses humaines.
Merci également à Ouest France pour cette belle mise en lumière, et en particulier à la plume de Marion Auvray et à l’œil de Jérôme Fouquet.
